Ne cherchez pas plus loin : vous l'avez sous les yeux!
Dans la série petits bonheurs qui me réjouissent pour la journée, j'ai à vous proposer une lettre de refus d'un éditeur. Oui! Oui! Vous avez bien lu : de refus! Mais attention s'il vous plait, c'est Monsieur Grasset lui-même qui m'écrit.
Et si cette lettre m'a fait du bien, c'est parce que justement, elle en dit. Du bien. Je vous en livre un extrait tel quel :
"Votre texte a su à la fois traiter avec pudeur d'un sujet sensible, le viol d'un jeune garçon, restituer les sentiments de Ferdinand face à cet acte et aborder les différents aspects du traumatisme : dégoût de soi, révolte, humiliation et honte ressenties, impossibilité d'en parler à qui que ce soit…
Nous ne doutons pas qu'il puisse intéresser, si ce n'est déjà fait, un éditeur aux collections plus larges que les nôtres."
Alors? Alors? Vous en disez quoi? C'est pas un vrai petit bonheur, ça?
Et si un éditeur passe par là, qu'il relise et relise jusqu'à plus soif la dernière phrase de Monsieur Grasset! Et puis ensuite… et bien, il m'appelle!
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Je te félicite sincèrement, et accessoirement, je réitère ma déclaration : on DOIT se faire un apéro. Parce que j'ai à peu près la même lettre de Madame Flammarion concernant mon livre sur l'inceste.
RépondreSupprimerAlors d'abord : bravo!
RépondreSupprimerEt ensuite : oui, oui, j'amène les shipcroc!
C'est wak des shipcroc ????? Tu me reconnaîtras, j'aurai des bretzel !!
RépondreSupprimermoi j'ai celle de M.Gallimard !! Je peux viendre ??? ;-)
RépondreSupprimerBon, je laisse tomber, c'est le RV des écrivaines (oui, je milité pour la féminisation des mots!) Sinon, accessoirement, je peux jouer du berimbau, du pandero ou de l'atabaque, juste pour mettre un peu d'ambiance...
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