Le lendemain de sa sortie, Le soleil sur la colline, paru aux éditions Gargantua et illustré par Nicolas Gouny, récoltait son 1er avis de lecture ! Celui de la Librairie Chantepages de Tulle dont il est (youpi !) Coup de cœur : "Un album touchant, émouvant qui aborde les thèmes du souvenir, de la transmission et du deuil."
Voilà qui devrait vous motiver pour participer au concours sur la colline, avec un exemplaire dédicacé à gagner, non ?
La colline du titre joue un rôle très important pour Kaméo, le petit garçon de mon histoire, puisque c'est là qu'il est allé chaque matin de son enfance avec son grand-père. Parlez-moi donc vous aussi d'un endroit cher à votre cœur, un endroit qui vous rappelle des souvenirs, un endroit qui vous émeut…
Bref, à vous de jouer !
Vous avez jusqu'à lundi prochain ! Go !
Ma colline à moi.. c'est la maison de mes parents (qui pour moi, et toujours "la notre"). J'aime y passer du temps, retrouver l'intensité des nombreux souvenirs partagés avec ma famille :)
RépondreSupprimerJe renouvelle mes félicitations pour ce bel ouvrage !! :)
Plein de succès à lui ! :)
Merci pour ce concours :)
Le grenier, chez ma Mamy. Étouffant l'été, glacé l'hiver, un peu moisi
RépondreSupprimerMais qu'est ce qu'on était bien pour y jouer.
Je suis toujours assez ému de repasser dans le lotissement où j'habitais, enfants. Ma maison et celles des alentours ont toutes changées de propriétaires, depuis. Mais quand je me trouve là, je suis sûr que ma chambre est au même endroit. J'irais assez facilement sonner chez un de mes copains pour lui proposer de faire un ping-pong.
RépondreSupprimerLa maison de mes grands-parents dans laquelle on faisait d'énormes bulles de mir avec vraie paille intégrée, et dans laquelle on tapait sur les murs car la légende disait qu'un trésor y était caché... Mes grands-parents sont décédés tous les deux, la maison a été vendue, mais les souvenirs sont intacts !
RépondreSupprimerMerci Sardine pour ce délicieux concours...
Moi aussi, mon lieu a moi c'etait une colline, avec une petite chapelle, et en dessous un pré avec sa fontaine...Mon pere et moi y allions tous les matin des vaccances d'été vers 10h se promener et s'assoir sous le vieux ceriser pour ecouter les chuchottis de la fontaine... merci de ce joli concours qui ramene les souvenirs
RépondreSupprimerBravo pour la parution et pour ce "coup de cœur" de la librairie Chantepages.
RépondreSupprimerDans les Pyrénées, il est un minuscule village cher à mon cœur :
le berceau de ma famille maternelle. Enfant, j'y passais mes vacances.
Depuis ce village perdu dans les montagnes, l'odeur des vaches, le chant des torrents (et le reste !) n'ont cessé de m'accompagner.
Un endroit qui me rappelle des souvenirs d'enfance, là où les ânes à poils long, sur l'île de Ré, attendent, un coin de verdure entre la route et une muraille. Depuis que je suis petite ils sont là, et quelque soit mon âge, je m'arrête et je leur dis combien je les aime!
RépondreSupprimerOh c'est beau et touchant, toutes vos histoires !
RépondreSupprimerMerci !
Oh un concours pour gagner ce superbe album, trop bien !
RépondreSupprimerUn endroit cher à mon coeur, c'est le village montagnard où j'ai grandi, Le Laus sur le col d'Izoard.
J'y ai des souvenirs incroyables là bas et ça me manque !
Le tout premier qui me vient, c'est un bout de désert... Cap Juby, au Maroc, aujourd'hui Tarfaya.
RépondreSupprimerC'est là que St Exupéry était chef d'aéroplace, c'est là que sont passés tous les grands aviateurs de l'aéropostale, et c'est là qu'est né Le petit Prince...
C'est l'endroit où rêvent de se poser tous les pilotes du monde, mais ce n'est plus une piste, juste du sable dans le désert.
Et nous avons eu l'immense chance, le 9 octobre 2007, de voir la piste refaite juste pour nous...
Déjà j'ai les yeux qui se mouillent quand je revois les immenses antennes repères dans le désert, et la toute petite piste de sable que l'on devine à peine, au loin...
Mon chéri, aussitôt lâché le manche et descendu de l'avion, s'est jeté à genoux pour toucher de ses mains le sable du désert.
Il a religieusement recueilli un peu de sable dans une petite bouteille, pendant que j'avalais le décor de tous mes yeux...
C'est un endroit qui ne ressemble pas à la Louisiane, vu qu'il est dans le Cantal. Un pommier dans un pré, avec, tout autour, la nature et les volcans.
RépondreSupprimerLa ferme de mes grands-parents dans mes collines à moi. L'immense pièce unique, la longue table, la vieille cheminée avec ses écritures en latin gravées... Cela sent bon les bugnes, le chocolat fondu, le fromage, le bois qui brûle mais surtout on ressent la chaleur d'une famille réunie.
RépondreSupprimerUne église, un petit bois derrière où se trouvait une grotte abritant une vierge noire. C'est là que nous allions nous promener mon père, mon frère et moi à la recherche d'asperges sauvages.
RépondreSupprimerJoli concours ! merci:)
Bravo et merci pour ce concours ... Un endroit que j'affectionne tout particulièrement... Dans les yeux de ma mère ! Me plonger dans la tendresse de son regard et dans l'amour qu'elle nous porte... De plus qu'aujourd'hui ceux sont mes enfants qui alimentent le bonheur visible dans ses yeux !
RépondreSupprimerfred paronuzzi
RépondreSupprimerC'est un col, le col de l'Arpetaz. Fermé en hiver à cause de la neige et accessible uniquement en raquettes ou en ski de rando. Un endroit merveilleux, sans personne. J'y suis allé presque tous les jours à une époque où rien n'allait bien. J'y suis retourné à des moments plus heureux. C'est un endroit particulier, unique.
La colline au-dessus de chez mes parents, sa petite chapelle et le champ de lavande auprès duquel je passe pour y grimper.
RépondreSupprimerc'est la pointe des chats à Groix, une petite plage, des rochers lisses incroyables et le phare rouge. Des tas de souvenirs, bien sûr, mais surtout, quel que soit le temps, quelle que soit l'humeur, on se pose là, et on est bien.
RépondreSupprimerPfiou... Ils sont vraiment bien, vos endroits-à-vous !
RépondreSupprimerAlors pour moi, mon lieu magique plein de souvenirs et de nostalgie c'est le Mont Saint Michel : mes grands-parents étaient montois, ils y vivaient et y travaillaient (mon papa y est même né et y a été scolarisé !) et j'y ai passé de merveilleuses vacances avec ma sœurette : je me souviens des courses et cache-cache dans les chemins de ronde, des grands escaliers qui nous menaient à l'abbaye où ma mamie tenait son comptoir de livres, des visites touristiques avec mon papy qui était guide, surtout les nocturnes qui me faisaient rêvaient et frissonner à la fois, des bolées de cidre bues avec une délicieuse culpabilité à ne pas " répéter à papa et maman " , bref, tout un monde !!!
RépondreSupprimerSeul bémol : y retourner aujourd'hui me donne la nausée de par l'afflux touristique massif et le côté business... Vivement que le mont retrouve son caractère insulaire que je puisse faire découvrir " mon " Mont à mes loulous !!!
MERCI pour ce doux concours !!!
Ma maison à moi, où j'ai habité de 0 à 18 ans... Parents séparés, maison vendue, avec beaucoup trop de souvenirs dedans ....
RépondreSupprimerQuand j'étais petite, mon grand père était gardien de phare.
RépondreSupprimerJ'adorais grimper ce petit escalier métallique vert, avec lui.
Il nous menez tout en haut, jusque dans la lanterne du phare!
C'était un endroit magique car personne d'autre n'avait le droit d'y aller
et où l'on pouvait voir l'ile et l'océan à perte de vue!
Par la suite, le phare a été privatisé et automatisé mais je garde précieusement ce souvenir qui a marqué mon enfance!
rhô !!! C'est trop beau toutes ces déclarations d'amour à vos endroits !
RépondreSupprimerA y réfléchir... je ne trouvais pas ma coline. A y réfléchir un peu plus, je repense au jardin potager de mon arrière grand-mère. Je la revois courbée, plantant, gratant, arrachant, travaillant vaillament au milieu des fleurs et des rangs de légumes. Souvenirs enfouis jusqu'au jour où je me suis retrouvée moi-même dans mon propre jardin potager, courbée, plantant, gratant, arrachant, travaillant ... avec mes enfants. Plus que des souvenirs remplis de tendresse, une vraie transmission intergénérationnelle ! Il ne manque qu'elle: ma coline à moi s'appelait mémé Giovanna ... <3
RépondreSupprimeremeline.cella@gmail.com
Etretat. Ses falaises me rappellent d'excellentes vacances en famille, mes premières vacances avec mon chéri, le déclencheur de l'accouchement de ma copine Ingrid juste la veille de mon départ (merci de m'avoir permis d'assister cette naissance) et les rêves faits avec Arsène Lupin.
RépondreSupprimerQuelle sérénité en haut de ses falaises, mais aussi quelle sensation de puissance de la nature. Un lieu magique :)
J'avais laissé un commentaire hier soir mais il a disparu :(
RépondreSupprimerBon je vais donc me répéter.
Ma petite colline, mon endroit c'est Etretat et ses falaises. Le sentiments de toute puissance quand on est en haut me fascine. Et puis j'y ai de bons souvenirs de vacances ne famille, de vacances avec mon chéri et c'est après les avoir montées que ma copine Ingrid a mis au monde sa petite Emma ( la veille de mon départ. ouf).
J'ai très envie de découvrir la petite colline de ton livre.
Sous un sapin géant qui vampirisait le jardin de mon enfance. J'y grimpais aux branches, j'y étais à l'abri, j'y étais chez moi.
RépondreSupprimerGlendalough, un petit coin de paradis. Quand j'ai la chance d'y retourner, je m'y sens BIEN !
RépondreSupprimerUn grenier avec vu sur LE canal. les odeurs, les péniches, le vent dans les branches des platanes... un vrai poste de pirate ! avec biensur le panier spécial messages secrets et goûters qui descendait par la fenêtre accroché à une corde !
RépondreSupprimerIl y a un endroit où tout jeune mariés nous sommes allés...San Juan de Gaztelugatxe, rien que le nom, il fait rêver. je m'étais faite la promesse d'y emmener mes enfants un jour...et on l'a fait...c'était magique de partager ça avec eux ! en plus, il y a toujours fait beau.C'est un rocher au Pays Basque avec une petite chapelle de marins, en pleine mer, dont le chemin est comme une petit muraille de Chine...On se prend pour des explorateurs et la vue est à couper le souffle !
RépondreSupprimerJ'aurais aimé parler d'un lieu d'enfance cher à mon coeur, un lieu où la simple évocation me laisserait un joli goût de nostalgie...mon ailleurs à moi, mon lieu de l'enfance où je fut bien et que je garde au fond de moi tel un trésor est mon pays imaginaire: un pays changeant mais réconfortant qui m'a accompagnée dans toutes mes épreuves de vie.
RépondreSupprimerEt aujourd'hui le lieu qui m'est le plus cher est celui où ceux que j'aime le plus sont à mes côtés...quelque soit le lieu où je serai avec l'homme de ma vie et ma fille sera mon lieu le plus cher!
Bravo pour cet album !
RépondreSupprimerMa colline, c'est un puits chez ma grand-mère. Juste un trou recouvert d'une plaque de métal, devant d'anciennes écuries. Cousins, cousines, on s'y retrouvait. On nous racontait qu'à l'intérieur se cachait le départ d'un souterrain qui menait au village voisin. On nous interdisait d'y descendre le chercher. Mais...
Guillaumes, un petit village des alpes maritimes. Une vieille maison, toute en hauteur et toute étroite, coincée entre deux autres, dans une ruelle où on ne fait pas passer une voiture. Le linge qui sèche sur le toit, qu'on doit aller accrocher en passant par une trappe. Des odeurs de moisi, de renfermé, de poussière, quelques scorpions, la balancelle, les grandes parties de détectives et de cache cache, le parc du Mercantour, les batailles de vase dans le Vésubie, les bombes à eaux au lavoir, les bals musettes de vieux (Ce sont mes grands-parents qui dansaient le mieux), les pétards dans les crottes de chien, Fabrice-Les-Grandes-Oreilles (le caïd du village), mon papi qui jouait de l'harmonica, en haut de la rue le soir, et que les autres vieux venaient écouter, les vers luisant, les parties de pétanque, la femme à barbe, la salle de bain avec le verrou à l'extérieur de la porte (pratique pour enfermer son cousin), la grande descente en vélo, Oscar le gros chien, la place du village avec la cage à taureau (qui devait être une ancienne balance à cochon ou un truc du genre...), les concours d'avion en papier, les jeux de pistes géants jusqu'au château de la reine Jeanne... C'était à peu près toutes nos vacances d'été avec mes frères et mes cousins. On aurait dit que le village était à nous, on allait à la piscine et au ptit square tout seul... et même jusqu'au château de la Reine Jeanne, tout en haut !
RépondreSupprimerOh la la... Toutes ces belles histoires...
RépondreSupprimerVous me gâtez, merci !!!
Moi un endroit qui m'émeut et me rappelle des souvenirs merveilleux...c'est aussi une colline. La colline du 23. Surplombée par 4 arbres aux allures et dégaines particulières, l'un foudroyé très artistiquement, l'autre dessiné par le vent, et leurs 2 acolytes... !
RépondreSupprimerBref une colline... assez spéciale et très unique et particulière pour MOI...!
La maison de mes grands-parents maternels - tout un monde, tout un poème...
RépondreSupprimerParce qu'elle était dans une ville dont le nom faisait ricaner bêtement ceux qui n'y sont jamais allés, qui ne connaissent que la chanson... Vierzon.
Parce qu'elle avait, vue de la rue, noire, étroite et trop passante, l'air d'une pauvre masure sans intérêt... mais qu'une fois la porte poussée, on en restait estomaqué.
Parce que le rez-de-chaussée côté rue était en fait le premier étage côté jardin...
Parce que ce jardin n'avait pas de fin, puisqu'il donnait sur une rivière large et bordée de saules magnifiques et qu'une barque attendait au ponton son prochain voyageur...
Parce que ses habitants eux-mêmes étaient aussi des poèmes... Un grand-père créateur et haut en couleurs, une grand-mère douce et reine du couscous, et des tourterelles turques, en liberté dans la maison, un chien, des bassins pleins de poissons rouges, et un écureuil qui frappait à la vitre quand le panier de noisettes était vide...
Une maison merveilleuse, pleine d'un bric-à-brac insensé, tronc d'arbre devenu tête de sanglier, bibliothèque à fond secret, outils devenus coq ou héron, un cirque miniature, entièrement fait main, prêt à donner des spectacles grandioses... bref, une maison faite pour rêver !
Mes grands-parents sont morts, la maison a été vendue, transformée... Je n'y suis plus jamais retournée. J'en garde un souvenir trop merveilleux : je tiens à ce qu'il reste intact. ♥
La dernière marche du vieil escalier de la maison de mes grands-parents qui est maintenant la mienne. C'est un escalier en bois tout vermoulu. Je m'assois sur la dernière marche et je me rappelle la maison avant : quand j'étais petite et que je regardais les images des vieilles BD de mes oncles, les belles photos des Terre sauvage de mon grand-père. Tous et toutes rangés dans une toute petite bibliothèque juste à portée de cette dernière marche...
RépondreSupprimerMerci pour ce joli concours !
moi, c'est la maison de campagne de mes parents ou l'on se retrouvait en famille avec ma maman, mon papa et ma petite soeur, on y allait même fêter Noel, et c'était magique!! quel bonheur d'être enfant entouré de ces deux parents..mon rêve: posséder une baguette magique et revenir en arrière..........
RépondreSupprimervoici un nouveau livre qui doit ètre aussi bien que les autres, aussi je participe au tirage au sort du concours avec grand plaisir
RépondreSupprimeryvette brenet
3è essai car je ne vois toujours pas mon message.
RépondreSupprimerMa "petite" colline c'est Etretat et ses grandes falaises. J'aime l'ambiance qui y règne, les souvenirs de vacances passées là-bas quand je devais avoir 7 ou 8 ans, mes premières vacances avec mon chéri et la dernière ascension enceinte de ma copine Ingrid qui a déclenché l'arrivée de sa petite Emma (la veille de mon départ). Et comme je suis une grande fan d'Arsène Lupin, c'est vraiment l'endroit parfait.
Mon coin ♥ : une plage mexicaine, côté pacifique, entre océan et mangrove, le sable chaud, les vols de pelicans, les bébés tortues... et mon Amoureux. Nada mas !
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RépondreSupprimerMon lieu à moi, c'est une grande pelouse avec beaucoup de monde, mais une seule personne, assise sur ma veste, par terre.
Au dessus de nous s'envolent des montgolfières, des centaines dans le soleil couchant.
Je ne la connais pas encore, mais j'ai envie.
Je ne l'embrasse pas encore, mais j'ai envie
Je ne la touche pas non plus, mais oui, j'en meurs d'envie.
Alors cette pelouse est à jamais magique, comme les montgolfières....
Hombre del sol
Oh la la... Émotion !
RépondreSupprimerC'est trèèèèèèèèèèèèès touchant aussi ces endroits plein d'amour ♥
Je pense au jardin de mon père... j'adorais y gratouiller la terre. Quel bonheur de voir ses salades pousser... enfin quand les limaces ne les avaient pas dévorées ! Aujourd'hui, quand je suis dans ce jardin, j'y suis bien, j'ai l'impression d'être plus près de mon père...
RépondreSupprimerMa "petite" colline c'est Etretat et ses grandes falaises. J'aime l'ambiance qui y règne, les souvenirs de vacances passées là-bas quand je devais avoir 7 ou 8 ans, mes premières vacances avec mon chéri et la dernière ascension enceinte de ma copine Ingrid qui a déclenché l'arrivée de sa petite Emma (la veille de mon départ). Et comme je suis une grande fan d'Arsène Lupin, c'est vraiment l'endroit parfait.
RépondreSupprimer(Participation de Leia, qui n'arrive à insérer un com' sur le blog ^^)
ma colline, c'est certainement tous les endroits où je ne reviendrais jamais: un petit village en campagne: des tours de vélo, la chasse aux tétards, le gâteau yahourt et la mousse au chocolat. La place de l'Europe: son papier-peint cerise, son lit armoire et la bonne salade de tomates. Au n°15,partout.
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RépondreSupprimerMa colline a moi, elle sent bon les vendanges, le dépeçage du cochon ou la récolte des betteraves quand il fallait les "drageouner".
Ma colline a moi sent bon les réunions de familles.
Quand on tuait le cochon, on faisait la tournée des voisins pour leur offrir du jus de boudins pour leur soupe, ou même quelques boudins... et tout cela sans prétention, juste pour le plaisir d' offrir .
ahhh j'arrive encore en bon dernier, j'avais aussi une colline, quand j'étais petit, derrière la maison de mes grands-parents, on y a fait plein de cabanes et de cachettes, j'y ai vécu de grandes choses dont je ne parlerais pas, dommage, ça vous intéresserait sûrement, mais je préfère garder tout ça pour moi, il y des souvenirs qu'il ne faut jamais dire, chuuuut ! :)
RépondreSupprimerEncore ! Encore !
RépondreSupprimerUn endroit qui m'émeut, c'est mon petit jardin secret...
RépondreSupprimerBravo Sardine :)
Les participations de la classe de CE2CM1CM2 de Charancieu, que je vais rencontrer en avril :
RépondreSupprimerLéana
Ma maison parce que j'ai vécu dedans. J'adore cette maison. C'est mon trésor.
Coralie
Ma chambre parce que quand je vais chez ma mamie elle est toujours habillée en rose bonbon comme ma chambre.
Lucie
Ma chambre car elle est bleu pétant et bleu clair et ça me rappelle le ciel.
Cassandra
C'est ma maison , j'ai passé toute ma vie dans ma maison et toute ma famille habite près de ma maison. Et si je ne l'avais plus, je serais hyper triste.
Laly
La Réunion, c'est très beau et ça me rappelle quand j'étais petite.
Jade
Cet endroit se passe à Chantilly là où mon père a habité une partie de son enfance avec sa grand-mère.
Quand on est partis là-bas pendant les vacances, il m'a tout raconté : quand il allait dans sa forêt pour se consoler car oui il y avait une forêt.
Robin
C'est la maison de famille. Je me demande bien comment ils sont arrivés à vivre dans cette maison avec rien. Mais il y a des bonnes choses comme des raisins, des cerises et un vieux tracteur en panne.
Julien
1:Ma maison où dedans il y avait trois chats mais maintenant il n'y en a plus qu'un de chat et il joue avec mon bracelet en formes.
2:Dreux où je suis né. Je n'y suis jamais retourné mais on va y retourner pour mon anniversaire.
Nana
Saint Pancrasse, c'est un endroit où j'ai passé de supers moments avec mes amis Elfie, Joan, Clotilde et Brenda.
Romane
C'est à Briançon, c'est un chalet en pisé qui appartenait à mon grand-père. A chaque fois que je vais en vacances là-bas, je vais dans cette maison.
Tommy
En Italie à la tour de Pise, quand je l'ai vue.
Claudia
C'est au mariage de ma cousine en Côte d'Ivoire. J'ai aimé parce que je me suis amusée avec mes frères et ma soeur et mes cousins cousines.
Lenny
Au mariage du copain de mon père
Inès
Maroc parce que quand j'y suis allée, j'ai vu un scorpion.
Anaïs
C'est quand je pars en Suisse chez mon tonton et ma tatie.
Alicia SB
C'est quand je pars en vacances tous les ans à Frontignan pour voir mes cousins.
Rodolphe
J'aime bien Paris parce qu'il y a ma mamie et je joue dehors.
Laurent
J'ai une chambre et elle est trop jolie parce qu'il y a des lions et zèbres et des girafes.
Lou-Ann
C'est à Bourgoin à l'appartement pour voir mon papa quand il fait des permanences.
Odilie
C'est quand j'ai rencontré mon chien Citron en Thaïlande. J'avais trois ou quatre ans.
Anaëlle
Dans un camping de « La Loire en vélo », il y avait des jeux gonflables.
Rémy
J'aime bien Grenoble parce qu'il y a ma marraine.
Alicia G
Quand je suis chez maman.
Léa
Quand j'étais en vacances à LunaPark
Olivia
Une fois, nous étions en vacances à la plage, j'ai rencontré des gens et j'ai joué avec eux, aussi bien des jeunes que des adultes.
(Merci pour vos belles histoires :-)
Mon endroit à moi, c'est dans ma tête!
RépondreSupprimerUn arbre, pas très loin de chez moi, mais suffisamment loin quand même pour y fumer mes premières cigarettes.
RépondreSupprimerEt puis chez les parents des copines, qui, eux, n'ont pas déménagé 15 fois depuis.
celui qui me rappelle toujours le plus de souvenir c'est le garage de mes grands-parents. car mon grand-père y cachait des boîtes de chocolat et m'en faisait bénéficier en cachette de temps en temps. complice de génération en génération :-)
RépondreSupprimerMa colline à moi, c'est le plateau des Glières. L'espace est magnifique, et chaque pierre, chaque arbre, chaque chemin est chargé de l'histoire de notre liberté et de l'utopie réaliste des humains optimistes. En rentrant de 5 ans aux Etats-Unis, en novembre 2010, c'est là que j'ai remis les pieds et la tête dans ma patrie. C'est là que je vais lorsque j'ai besoin de me rappeler que mon pays, c'est la France. C'est ici. A toute saison, à toute heure, avec mes enfants, mes amis ou seule avec moi-même, je ne manque jamais d'aller y passer du temps, quelques minutes ou plusieurs jours. Entre deux voyages, c'est mon escale obligée, celle qui fait que je me sens "de quelque part".
RépondreSupprimerc'est mignon et parfois émouvant. Les grands comme les petits d'ailleurs
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