Comme en juin ça se bousculait un peu au portillon, avec trois sorties simultanées, on va prolonger le plaisir de l'été en ce 1er jour de rentrée avec un concours!
Le petit blond, juste en dessous, se régale. Ça se voit, non?
Et bien, vous allez pouvoir faire comme lui en gagnant votre exemplaire dédicacé de L'été où mon grand-père est devenu jaunophile, paru aux Éditions Les Lucioles, au début de l'été
Dans cette histoire, Adrien passe des vacances chez son grand-père qu'il adore. Racontez-moi ce que vous vous adorez (ou adoriez) chez votre grand-père.
Moi c'était ses yeux qui pétillaient quand il me voyait, ses grandes mains calleuses, son rire à tout bout de champ, ses blagues, le rond blanc sur sa tête quand il enlevait sa casquette, sa façon de me serrer dans ses bras quand je partais…
Et vous?
Tirage au sort vendredi 16 septembre.
Inscription à :
Publier les commentaires (Atom)
Merci pour ce sympathique concours qui me permets de me remémorer de très jolis moments de mon enfance !
RépondreSupprimerPour les meilleurs moments passés avec mon grand-père, entre autre, c'était quand nous allions à la ferme et que nous avions, ma soeur et moi, le droit de donner le biberon aux petits agneaux !
Je n'ai presque pas connu mon grand-père, je n'ai pas de souvenirs avec lui ... mais je vais répondre pour mes filles qui rentrent de cinq jours passés avec mon père. Elles ont fait des sculptures en argile, elles ont appris à vider les maquereaux (si, si), elles ont assisté à une répèt de théâtre et elles ont fait des photos de papy avec une perruque de vieux rocker sur la tête. En repartant, elles pleuraient. "Il va trop nous manquer papy".
RépondreSupprimerChouette ! Encore un concours ;)
RépondreSupprimerMerci Sardinette*
Moi, ce que j'adorais par dessus tout c'était les après midi où l'on ramassait les pommes de terre...
Je grimpais dans la brouette au milieu des outils. Je me cramponnais bien. On chantait "Savez-vous planter les choux..." et je riais aux éclats... Je riais car nous roulions sur tout un tas de bosses et de cailloux alors forcément ma voix vibrait, ressemblait davantage à celle d'une chèvre et ça donnait : "Saaaaaaveeezzzz vouuuuuus plannnnnteeeeez..." :D
Ensuite, chacun sa mission : mon grand-père remuait la terre et moi je ramassais les patates qui apparaissaient au fur et à mesure à la surface. "Oh ! Papi, une pépite !"
Et oui, c'est comme ça que j'appelais les pommes de terre : "les pépites d'or de papi" !
Enfin, mon bonheur se décuplait quand arrivait le moment de les déguster... :)
Mon grand-père (que je n'ai pas eu la chance de connaître très longtemps) pleurait quand on repartait de chez lui, ça m'a toujours fait quelque chose.
RépondreSupprimerJe n'ai pas connu mon grand-père maternel mais ce que j'aimais c'était qu'il appartenait au corps de la gendarmerie montée. Il adorait les chevaux... Il a eu trois filles qui toutes en ont eu une peur bleue ! Or j'étais la seule parmi ses petits enfants à aimer ça ! Du coup j'ai toujours regretté son absence et j'ai toujours pensé qu'il m'avait transmis sa passion pour être un peu là quand même !
RépondreSupprimerJe me souviens de mon papy avec sa pipe. je me souviens de mon papy qui mettait un noeud pap', et faisait quelques pas de danse sur du jazz pour nous faire rire, et aussi un joli souvenir quand il nous faisait tous grimper (au moins 15 cousins) dans la toute petite remorque de son tracteur et hop c'était parti ! Que personne ne tombe !!
RépondreSupprimerWaouh! Déjà plein de chouettes histoires...
RépondreSupprimerMerci!
Et je rajoute celle de Clémentine qui ne veut pas toucher son clavier aujourd'hui (pour cause de poursuite d'orteils en éventail?), mais qui veut quand même raconter son souvenir :
Clémentine :
"youpi! alors moi c'est les pastilles Vichy qu'il cachait partout: dans la boîte à gants sous les paperasses, dans le tiroir de la cuisine entre les couverts, dans la table de nuit entre les tubes de médicaments..."
Moi j ai un souvenir pr chaque grand père : mon papy Paul qd on se faisait des promenades avec boby le toutou et qu il m apprenait à faire de la musique ac un brun d herbe ...y à fallu de l entraînement pr y arriver :-) et mon papy jean il est plus récent mon papy c un grand et baraque ac un gros tatouage sur le bras si si c est un dur mon papy :-) et qd j étais petite interdiction de l appeler papy " non moi c est jean pas papy " et ben à mon mariage il avait les yeux plein larmes mon papy et c était super émouvant ...
RépondreSupprimerJe n'ai hélas pas connu mes grands-papas ! Nos routes ne se sont pas croisées, à mon grand regret.
RépondreSupprimerL'un venait d'Italie, l'autre du pays catalan. J'ai hérité de leurs yeux bleus à tous deux, de la douceur du premier et du mauvais caractère du deuxième (si ! si !).
Alors pour combler un vide affectif, je les mets en scène dans de nombreuses histoires...
Je n'ai pas connu longtemps mes grands-pères, mais j'ai un souvenir pour chacun :) : L'un m'emmenait faire des grandes promenades dans les bois et l'autre me faisait tourner en l'air dans ses bras. J'aurais bien aimé les connaître plus !
RépondreSupprimerLes fois où j'étais assise sur ses genoux.... j'étais la plus chanceuse !!! :)
RépondreSupprimerJe suis contente d'être de retour sur mes visites de blog :)
Encore un concours à larmes (chouette!).
RépondreSupprimerJ'ai connu un seul de mes grand-pères - et encore je m'en souviens à peine... je revois juste un grand monsieur, très large, que je trouvais beau avec sa touffe de cheveux noirs frisés.
Mais on m'a beaucoup parlé de lui qui jouait du violon, et le son de cet instrument m'a toujours émue aux larmes. Ma mère avait eu son violon en héritage, elle a eu la grande générosité de me l'offrir à moi...
Ca fait 55 ans - et plus - qu'il n'a pas servi, il lui manque des cordes, l'archet s'est tout effiloché, mais je le conserve précieusement...
Je passe mon tour, je n'ai pas connu mes grand-pères !
RépondreSupprimerPour moi c' est quand il nous faisait asseoir et qu' il ouvrait sa boîte de cigarillos, dedans il y avait des tickets de tiercé à poinçonner, et des petits bouts de papier, pliés en 4, sur chacun d' eux un numéro... les gagnants à coup sûr on allait les tirer mes frères et moi chacun son tour, 1, 2, 3. Plus tard il réinventa le même jeu avec les numéros du loto... Sa casquette et sa gentillesse me manquent
RépondreSupprimerEt bien moi je ne le voyais pas souvent mais on avait une longue correspondance... J'adorais reçevoir ses lettres avec sa belle écriture à la plume :)
RépondreSupprimerBravo !
Comme Agnès, je n'ai pas connu mes grand-pères... du coup on ne peut pas jouer ? snif
RépondreSupprimerBen si, on peut jouer!
RépondreSupprimerY a pas de double peine, ici ;-)
Un commentaire, ça vaut!
Mon grand-père était l'homme le plus doux et le plus généreux de la terre. Il nous racontait son passé en Afrique, entouré d'autruches, de singes et d'éléphants et surtout, quoi qu'on fasse, il était toujours fier de nous.
RépondreSupprimerQuand je parle de mon grand-père la première chose à laquelle je pense, c'est l'odeur des tomates cueillies dans le jardin et le goût des mures sur le chemin qui y menait...
RépondreSupprimerj'ai pas fini. Donc ce que j’adorais chez mon grand-père, c'est sa présence rassurante. il était là et j'étais heureuse simplement :)
RépondreSupprimerJ'ai très peu de souvenirs avec mes grand-pères... Quand je repense à eux, c'est leur forte présence dans leur maison que je ressens. Une grande force masculine...
RépondreSupprimerpunaise, j'en aurais à raconter sur lui, c'était un personnage ! j'ai d'ailleurs l'intention d'en écrire un livre, alors je vais juste dire quelque trucs :
RépondreSupprimermon papy Jo était facétieux, il adorait se ballader en slip kangourou chez lui , parce qu'il se sentait bien comme ça , et il s'en fichait si quelqu'un sonnait (le facteur, le docteur, peut lui importait !)
sur la plage, pas question de l'appeler Papy, il voulait qu'on l'appelle Maurice (il s'appelait Joseph) , oui, mais Maurice, ça faisait plus jeune.
quand il nous emmenait au zoo de Vincennes (tout les dimanche matin), il faisait son show avec Siam, l'éléphant le plus connu du zoo, il lui faisait lever la patte, barrir, et plein de truc, j'ai jamais pigé pourquoi, je suppose que l'éléphant le connaissait à force !
Siam et mon papy doivent se poiler tout les deux au ciel...
ha ça me donne envie de l'écrire ce livre, merci !!!!!!!!! j'ai tellement d'necdotes à raconter sur lui !!
Eh Vie (non je ne joue pas deux fois même si j'aimerais bien !!) juste pour te dire qu'il existe un très beau livre sur Siam !! et comme dans ton histoire c'est un vieux monsieur qui en parle !! http://www.chapitre.com/CHAPITRE/fr/BOOK/conrod-daniel-place-francois/siam-la-grande-histoire-de-siam-elephant-d-asie,1605538.aspx
RépondreSupprimerSuperbe la photo du p'tit blond aux magnifiques yeux bleus ! dieu qu'il est beau c't'enfant!
RépondreSupprimerComment ça ... ça n'a rien à voir avec l'histoire de grand-père? on sait jamais! Et si mon grand-père avait des yeux bleus, hein ?
et ben moi je ne les ai pas connu. ou si peu...mon grand-père maternel est parti quand j'avais deux ans et le seul truc que me raconte ma mère c'est qu'il en avait tellement marre de m'entendre pleurer qu'il m'avait acheté une sucette que l'on pouvait remplir de miel. Et avec ça dans la bouche je me taisais enfin!
RépondreSupprimerJ'aurais plein de choses à raconter mais en quelques mots, je dirais, les artichauts du jardin. Je trouve ça magique des artichauts dans un jardin !!!
RépondreSupprimerNajat m'a envoyé son commentaire via le mail, car blogger lui fait des misères...
RépondreSupprimerLe voilà :
Et bien mon grand-père à moi (maternel car je n'ai pas connu le paternel), adorait le thé très très très sucré ! Il avait aussi deux ânes et un cheval sur lesquels j'ai eu quelques frayeurs mais aussi beaucoup de fous rires. Dans ses vignes, je me goinfrais de raisins, mais j'aimais aussi récolter les amandes, les prunes, les olives et les figues de barbarie en sa compagnie. Il a vécu la guerre aussi, et ça se voyait dans ses yeux... Je ne l'ai pas vu souvent, il habitait loin, mais je m'en souviens très bien.
Najat Azira
http://littleboxes-rvesdcriture.blogspot.com/
Mon grand-père c'était un grand lecteur de journaux. Je l'ai toujours connu en train de lire la presse régionale et nationale.
RépondreSupprimerQuand j'étais petite, je voulais apprendre à lire, pour lire le journal comme papy.
Et puis j'ai toujours aimé sa façon de m'appeler "min tiot pouchin" (mon petit poussin).
Mon papy c'était un vieux monsieur qui forçait l'admiration.
Je n'ai pas connu mes grands-pères...alors je les rêve. Et je crois très fort que j'aurai été leur petite fille préférée.
RépondreSupprimeroui, du coup je rêve un peu ce que je veux ^^...
On aurait fait des balades, ils m'auraient appris des tas de trucs...je regrette de ne pas les avoir connus.
Moi, j'adore pleeeeein de choses chez lui et je l'admire comme je n'ai jamais admiré personne, mais ce que je préfère et c'est peut-être un minuscule détail, mais c'est le fait qu'il ait toujours appelé toutes les petites filles de la famille "Jeannette". j'trouve ça drôle. voilà.
RépondreSupprimerMon grand père était agriculteur. il s'occupait de ses pommiers et ses pruniers, et s'extasiait de les voir grandir, tout lentement. Sentir la sève qui fera pousser une petite pomme ou une petite prune. Paisible, calme, penseur et sain, humain et résistant contre vent et marrées aux pressions diverses et variées !
RépondreSupprimerLorsque j'étais petite, 5, 6 ans, j'adorais coiffer mon grand-père,lui mettre les bigoudis alors qu'il n'avait que quelques cheveux sur la tête! Lui se laissait faire sans rechigner! On rigolait bien!Plus tard je partageais des moments où l'on dessinait ensemble!
RépondreSupprimerBravo pour ton roman Sandrine!!
Pas beaucoup d'histoire à raconter avec mes grand-pères, juste une vieille odeur d'eau de cologne et des bisous qui piquent !
RépondreSupprimerUn sacré bonhomme aux grandes paluches, friand de berlingots (bonbons nantais), et qui défaisait son dentier dans sa bouche pour nous faire rire... c'était dégoûtant, mais nous explosions de rire !!
RépondreSupprimerIl nous a appris à siffler, il parlait 7 langues et jouait de l'harmonica en tapant du pied, que de souvenirs !
Mon grand-père, c'était un sacré tricheur aux cartes. On jouait au menteur, je n'osais jamais mentir et lui gagnait toujours.... J'ia mis longtemps à comprendre pourquoi!
RépondreSupprimerBisous Sardine!
j'ai eu chaud, je suis sortie de ma tente à temps ! alors ce que j'aimais c'était son uniforme de chaque jour : salopette bleue, chemise à carreaux en laines, gros godillots, montre à gousset, et cigarette roulée. Et son rire qui arrivait (rarement) mais qui nous emportait à chaque fois
RépondreSupprimerje participe avec plaisir si ce n'est pas trop tard. j'ai peu de souvenir de mes grands-pères, ils sont parti trop vite! bravo pour ce livre :)
RépondreSupprimerJe participe aussi :) mon grand père est un bricoleur à mes yeux d'enfants un inventeur chaque fois qu'on venait chez lui il avait inventé un nouveau truc et puis il avait tout le temps des histoires en réserve :))
RépondreSupprimerBon, je joue après la musique... c'est mon côté à côté de la plaque. Mon histoire est certainement la plus idiote des histoires, mais ça fait rien, de toute façon, elle arrive après la bataille alors... La voilà: Mon grand-père habitait dans la même rue que mes parents et moi. Un jour, alors qu'il pleuvait (j'avais 5 ans) je suis allée avec mon ciré jaune et mon chapeau de pluie (en ciré jaune, hi hi hi) devant chez lui. Il m'a demandé" c'est toi, Viviane? " je n'ai rien répondu et je suis rentrée à la maison. C'est con, hein?
RépondreSupprimer