Je danse la gigue!

Rudolf Noureev n'a plus qu'à aller se rhabiller. Côté gigue, je vais finir par le battre à plate couture!!! Ah! Ah!



Vous l'avez compris, je viens de signer, mon quatrième contrat d'auteur. C'est toujours aussi bon! Et cette fois pour une parution à l'automne.

Rrrrrr… Rrrrrr… Rrrrrr… Excusez-moi, ça fait toujours un peu de bruit, quand je ronronne.

Attention : O.M.N.I.

O.M.N.I. ou si vous préférez, Objet Merveilleux Non Identifié. Comme tout ce que fait Thierry Dedieu, auteur inclassable et en perpétuelle recherche.

Il vient de signer cette fois "Le roi des sables", un album qui est un régal pour les yeux et qui est aussi une très belle histoire. Celle d'un petit roi qui construit un château de sable, en bord de mer, comme on a tous rêvé d'en faire.



Un château dont la vue est stupéfiante et qui enchante son cousin, le roi des bois. Même s'il sait que la mer va bientôt le détruire, le petit roi bâtisseur ne souhaite pas avoir une autre vie que celle-là, ailleurs que dans ce paysage grandiose.

Bref, une histoire qui parle aux petits et grands, de la beauté et de la force de la nature, des plaisirs éphémères et merveilleux, et de l'humilité nécessaire face au monde qui nous entoure.

Alors, un seul conseil : ne passez pas à côté de cet O.M.N.I. Et pendant que vous y êtes allez donc faire un tour du côté de chez Thierry Dedieu.

Vous ne regrettez pas la balade, j'en suis certaine!

"Le roi des sables", de Thierry Dedieu, chez Seuil jeunesse. A partir de 3 ans – 13,50 €

Késako?

Le joli carnet avec encore quelques pages blanches qui m'accompagne partout, ou presque.

Lui aussi, il avait envie d'aller au bord de l'eau. Et il en soupire d'aise en se laissant tourner les pages…

Je danse la gigue!

Je viens de signer, mon troisième contrat d'auteure. Oui, "auteure". Cette fois, on n'a pas oublié que j'étais une fille!



Parution un peu lointaine, mais idéale pour fêter la nouvelle année… Oooh qu'c'est bon!

Un peu de fantaisie dans la vie

Voilà qui n'a jamais fait de mal et qui devrait être hautement recommandé dans toutes les familles, au travail, dans les files d'attente,… et j'en oublie!

Audren, qui écrit et qui dessine –y en a qui n'ont décidément pas peur de donner des complexes aux autres!- a signé une petite histoire qui en est pleine. De fantaisie, pour ceux qui n'auraient pas suivi!



L'histoire, c'est celle de Félix, qui a un nouveau maître. Un maître anglais, mais surtout, qui a une conception de l'enseignement pour le moins inhabituelle… Pour mardi, en guise de devoirs, il a par exemple demandé à ses élèves d'amener une bizarrerie.

Voilà qui va plonger notre petit héros dans la plus grande perplexité. Sa famille, sa maison, son mode de vie vont soudain lui paraître d'une normalité insupportable! Sa sœur est une fille, son chien ne sait pas parler et toutes les bananes se ressemblent. Rien de biscornu, rien d'étrange chez lui…

Au final, Félix, ses camarades et sa famille –même le papa récalcitrant à la fantaisie- vont découvrir à quel point on peut être créatif et titiller son intelligence en s'amusant.

Ça fait drôlement sérieux dit comme ça, mais "Bizarre, bizarre" est une histoire malicieuse, truffé de petites scènes très drôles. Bref, un régal à lire!

"Bizarre, bizarre", écrit et illustré par Audren, dans la collection Mouche de L'école des Loisirs. A partir de 6 ans – 6,50 €

A fond! A fond! A fond!

Une petite rivière qui coule, des libellules bleues qui volètent, les rires des enfants et du soleil à gogo… voilà le programme pour les prochains jours.



Sans oublier une pile de petits bonheurs à lire et un joli carnet avec plein de pages blanches pour écrire dedans -si la fée de l'inspiration ne préfère pas se faire dorer au soleil, elle aussi-!

Mmmmmm… fait du bien tout ça!

Oui! Oui! Ouiiiiiii!

Non, pas de panique! Ce blog n'est pas interdit aux moins de dix-huit ans et je ne vous refais pas la bande-son du dernier "Emmanuelle"…
- J'ai même pas de fauteuil en osier, alors c'est dire! -



C'est juste qu'en ce moment, c'est la valse des "OUI!"

Et qui va s'en plaindre? Sûrement pas moi!

Franc succès pour le Sardinethon!

Rappelez-vous… Je vous ai sollicité, - certains diront, les mauvaises langues, influencé -, enfin bref, je vous ai encouragé à voter pour la 122 ou la 122. Ma petite histoire finaliste du Concours Pépin.



Faut croire que vous avez eu du mal à choisir, car j'ai l'immense honneur, le plaisir fabuleux, la joie explosive de vous annoncer que je viens de remporter le Prix du Public!

"Yeehea!" Comme hurlerait posément le cow-boy à la vue d'une vache qui n'attend que son lasso.

Et donc, je dis quoi maintenant? Et bien d'abord, merci Public! Et je décerne solennellement la boite de Sardine d'Or (ou de bonbons, au choix) à tous les visiteurs et teuses de ce blog! Bravo! Clap! Clap! Vous êtes les meilleurs!

Un petit plaisir avant les feux d'artifice

Vous aimez les choses délicates et la poésie? Alors j'ai ce qu'il vous faut!
Une petite merveille de douceur et de tolérance, qui s'appelle "Petit René s'envole".



C'est l'histoire d'un petit garçon différent. "Je suis pas différent, dit Petit René sur son fauteuil roulant. Je suis pas pareil." Alors pour oublier son "pas pareil", Petit René adopte une licorne et sur son dos, il vit des aventures incroyables, qui font le bonheur de ses petits copains quand il leur raconte.

On croise au fil des pages, une baleine à voiles, un dragon de l'espace en cage, des poissons plein d'yeux et surtout, surtout un vent de fraîcheur et d'espoir, qui nous accompagne encore longtemps, une fois le livre refermé…

Et puis, je ne peux pas ne pas parler des illustrations ciselées de Nicolas Gouny, qui sont à elles seules une merveille (je sais, je me répète!) , avec une foule de petits détails charmants qui ravissent les jeunes lecteurs.

Une belle histoire sur le pouvoir de l'imagination et des rires, qui est coup de cœur de la Fnac. Et coup de cœur de Sardine aussi, vous l'aviez compris… Si c'est pas d'la référence, ça!

"Petit René s'envole", écrit et illustré par Nicolas Gouny, chez Scarabéa. A partir de 3 ans – 13,90 €

L'aventure des Impromptus continue!

Avec une commande de mon comédien-metteur-en-scène préféré, Sébastien Barberon.



Il avait envie cette fois, d'histoires un peu farfelues, un peu absurdes et je viens de lui en envoyer deux. Celle d'un p'tit gars avec un drôle de nom "Anatole Rafistole" et "Un beau Marcel de juillet", où la fermeture de la boulangerie provoque bien des dégâts…

La bonne nouvelle, c'est qu'il a trouvé ces histoires drôlement chouettes!

Le dimanche, la Sardine n'est pas en vacanches!

"Il était une fois une petite fille qui vivait au bord d'une forêt, au Nord de la Russie. Sa grand-mère qui tricotait, la gâtait beaucoup. Elle lui avait fait un long manteau bleu, des petits gants bleus et lui avait cousu une chaude chapka bleue. Si bien que tout le monde l'appelait "La petite fille bleue".



Un jour sa mère lui dit : "Porte vite ce petit pot de miel à ta grand-mère malade. Elle t'attend. Et ne traine pas en route Anouchka! La forêt est profonde et pleine d'animaux dangereux."

La petite fille bleue partit aussitôt pour aller chez sa grand-mère, qui habitait de l'autre côté du bois. Ses petites nattes dansaient sous la chapka et dans son dos, se trouvait sa balalaïka, la petite guitare qui ne la quittait pas.

Bien vite, la petite fille bleue oublia les recommandations de sa maman…"

Et hop! Une histoire de Petit Chaperon Bleu qui part en direction de la presse. Croisez les doigts pour elle! Et même les orteils, si vos pouvez. Histoire de voir où vous en êtes question souplesse…

C'est la dernière ligne droite!

Et promis, après je ne vous rabats plus les oreilles avec ce truc. Enfin, quand je dis ce truc j'exagère, parce qu'il s'agit quand même du petit concours d'écriture rigolo, le Concours Pépin.



Les trois premiers prix ont été attribués. Il ne reste maintenant plus qu'à voter pour le Prix du public!

Attention, la date limite, c'est ce soir minuit. Après, comme pour Cendrillon, ça sera foutu…

Et comment on fait? On va faire un tour sur le blog, ici :
http://prix-pepin.blog.mongenie.com/

On lit les petits bijoux de tout le monde.

Et on envoie par mail à cette adresse : pepin2010@gmail.com, le numéro et le titre des trois qu'on préfère.
Par exemple, le 122-Bad trip et deux autres…

Après qu'est ce qui se passe? Et bien après, je vous dis "Merci!"

Contente!

Après quelques petites corrections, mon histoire d'hippopotame qui devait s'appeler "Un si joli popotin" mais qui sera bientôt rebaptisée –d'ailleurs si vous avez des idées, n'hésitez pas à vous lâcher, en laissant un commentaire! – prend le chemin de la fabrication.

Et ce qui est super génial, c'est que mon éditrice a contacté une illustratrice que j'aime beaucoup et dont je suis le travail depuis pas mal de temps. Elle est hongroise, elle fait de très belles choses, elle parle très bien le français et elle est rigolote comme tout. Elle s'appelle Hajnalka Cserháti. Vous l'avez peut-être aussi croisée au fil du net, sous le pseudo d'Ojni.

Si vous voulez voir son travail, le mieux c'est d'aller faire un tour là :
http://ojni.blogspot.com/

Contente… Je suis contente!

122!

122… 122… 122… 122… 122… 122… 122… 122… 122… 122… 122… 122… 122… 122… 122… 122… 122… 122… 122… 122… 122… 122… 122… 122… 122… 122… 122… 122… 122… 122… 122… 122…

C'est ce qui s'appelle de la "suggestion mentale".



Enfin, moi j'dis ça, mais vous faites comme vous voulez… Vous votez pour la 122 ou la 122, ça ne me pose pas de problème! A moins que vous n'ayez une préférence pour la 122. Pas de problème, je vous dis!

Par contre, attention, vous n'avez plus que deux jours pour le faire sur le blog du Concours Pépin.

http://prix-pepin.blog.mongenie.com/

Qu'est ce qu'il y a à la clef? Un truc qui me ferait drôlement plaisir : Le prix du public!

Pof! En plein dans la thématique!

Ben oui, puisqu'on est sous le signe des vacances, j'avais envie de vous parler d'un très joli petit bouquin "Des vacances trop bizarres".



"Ce qui est bien avec la vie, c'est qu'elle apporte toujours des surprises"… voilà les premiers mots de Mira pour raconter son histoire de vacances pas comme les autres. Tout commence le jour où papa achète une vieille caravane qui sent un peu le moisi. Même si ce n'est pas le paradis, Mira et son frère sont enchantés parce que c'est la première fois qu'ils vont partir en vacances. Les autres années, il y avait le crédit de la voiture à payer.

Mais Mira a des antennes sur la tête qui ne se voient pas –c'est toujours ce que dit sa maman – et très vite, il y a des choses qu'elle trouve bizarres. "Emporte tout ce que tu aimes, lui ordonnent ses parents en lui tendant une grande valise. Tes jouets, tes peluches et tous tes habits. Même ceux d'hiver." Et les voisins en les voyant partir, leur crient "Bonne chance! Bon courage!"

Ce que Mira va vite découvrir, en croisant une autre famille exilée dans un camping, c'est que son papa a perdu son travail et qu'eux aussi n'ont plus de maison.

On ne pleure pas en lisant l'histoire de cette petite fille qui voit son monde s'écrouler autour d'elle, on est ému, on sourit et on rit aussi. Et évidemment, l'espoir est au bout du chemin, comme à chaque fois sous la plume d'Agnès de Lestrade. On y croise aussi de la chaleur humaine, de la solidarité et un "gâteau au chocolat, spécial camping, celui qu'on ne peut pas réussir dans une vraie maison, où il y a tout ce qu'il faut".

Un roman illustré pour réfléchir et s'émouvoir, parfait pour ceux qui commencent à lire tout seul.

"Des vacances trop bizarres", écrit par Agnès de Lestrade et illustré par Vincent Balas, paru dans la collection Poche Cadet des Editions Milan. A partir de 6 ans – 5,40 €

Ça n'arrête pas!

Un "oui peut-être, après certaines modifications…"



Et surtout un "oui" direct! Avec publication presse en novembre prochain. Et pour un magazine avec lequel je n'ai encore jamais travaillé.

Youpi! Youpi! Youpi! (… Il en faut bien trois!)