Montreuil, c'est le seul endroit d'où on revient à la fois épuisé et à la fois plein de pep's. Et comme chaque année, j'ai eu chaud, j'ai trouvé qu'il y avait vraiment du monde dans les allées, mais comme chaque année, j'ai adoré ça !
Pour ceux qui ne connaissent pas, petite présentation (chipée à Gabriel de
La Mare aux mots) :
OK, c'est un peu grisouille. Mais en vrai, on s'en fout.
Pourquoi ?
A cause de ça :
A cause de ça :
A cause de ça aussi :
Montreuil, c'est aussi des premières fois,
des rencontres avec des gens avec qui on travaille
et qu'on ne connaît pas encore :
Et cette rencontre-là, je l'attendais fort.
Parce que Marion Arbona a quand même été
celle qui m'a fait pleurer avec les illustrations incroyables
qu'elle a faites sur mon texte Quelle sacrée chance !
Là, c'est nous le lendemain, les mains vides,
parce que la veille, en 20 minutes,
on a épuisé tout le stock de Quelle sacrée chance !
Fou, non ?
(Bon allez, je vous le dis, y en avait que 5 exemplaires, en fait.
Le distributeur français n'avait pas encore été livré,
et c'est Simon, l'éditeur, qui a bien voulu se priver de 3 pantalons,
pour glisser quelques albums dans sa valise.
Merci Simon :-)
A Montreuil, il y a aussi des rencontres imprévues :
Comme quand Coralie Saudo passe sur le stand des 400 coups,
juste pour que je puisse faire une photo
de mes deux illustratrices estampillées Québec !
Évidemment, on enchaîne les dédicaces :
Manolo, le petit fantôme.
Je suis une lionne, avec qui vous savez :
Gwen en plein travail…
Moi, en plus de me liquéfier
pour cause de 50 ° ambiants sur le stand Philomèle,
j'étais scotchée !
Ce qui est chouette, c'est qu'Isabelle a bien fait les choses,
parce qu'elle m'a arrosé le genou gauche avec un verre d'eau
et que tout de suite, ça allait mieux.
La preuve, regardez, on est fraîches comme des roses du matin :
Dans les allées du salon, on fait aussi des rencontres inattendues.
Anne qui m'avait accueillie pour une journée exceptionnelle
dans sa classe de Menotey dans le Jura,
Fabienne qui m'avait, elle, invitée à Bordeaux
pour recevoir le 1er prix de L'étrangleur du 15 août,
Annette Boisnard qui m'a sautée dessus en sortant des toilettes…
Et puis Lison, avec sa mèche flamboyante,
tout juste débarquée de Tahiti :
(Elle a aussi des bananes séchées à tomber, mais ça se voit pas trop, là)
On en profite aussi pour faire des photos
des copains et copines en dédicaces :
Séverine et Csil, et leur magnifique livre-accordéon 55 oiseaux.
Ce qui est drôlement sympa, c'est que pour nous remercier,
on nous offre une coupette
(et Anne Loyer, en bonus. Chouette, le bonus !)
A la votre, les éditions Winioux !
Y aussi la Tribu-dédicace, presque au complet
(y en a une qui nous a quand même
sacrément manqué ce matin-là !)
Avec Siouper-Jess, ses spéculoos et ses crolles à tomber :
(Vous avez vu, comme je maîtrise le belge !)
(La trop belle photo, de la tout aussi belle -et souriante- Sandra,
(Un moment fort pénible, là encore, avec une p'tite Mimo
qui essaye de faire croire à tout le monde qu'elle est désagréable,
mais franchement avec un sourire comme ça, elle est absolument pas crédible !)
Et puis pour finir, cette année à Montreuil,
c'était aussi bien chouette,
parce que mon joli-papa et ma maman sont venus me voir :
(Bon, y en a un qui manque sur la photo !)
Bref, l'année prochaine, les gars et les filles :
même heure, même lieu, mêmes sourires !